Si le mot « flâneur » évoque immédiatement Baudelaire, les grands boulevards et la vie de bohème, qu'en est-il de « flâneuse » ? Dans ce livre jubilatoire, ode piquante à la déambulation au féminin, Lauren Elkin la présente comme une femme « déterminée et pleine de ressources, profondément en phase avec le potentiel créatif de la ville et le pouvoir émancipateur dune bonne balade ». Mais elle nous
Si le mot « flâneur » évoque immédiatement Baudelaire, les grands boulevards et la vie de bohème, qu'en est-il de « flâneuse » ? Dans ce livre jubilatoire, ode piquante à la déambulation au féminin, Lauren Elkin la présente comme une femme « déterminée et pleine de ressources, profondément en phase avec le potentiel créatif de la ville et le pouvoir émancipateur dune bonne balade ». Mais elle nous montre aussi que revendiquer doccuper ainsi lespace urbain reste pour les femmes un acte subversif.De New York à Paris, de Tokyo à Londres et Venise, Lauren Elkin croise en chemin les flâneuses qui y vécurent de la réalisatrice Agnès Varda à la correspondante de guerre Martha Gellhorn, en passant par les romancières George Sand et Virginia Woolf. Lauteure sattache à mettre au jour ce qui se joue chaque fois quune femme au pied léger sort à la rencontre de la ville, comment chacun de ses pas contribuera à transformer son existence.
Si le mot « flâneur » évoque immédiatement Baudelaire, les grands boulevards et la vie de bohème, qu'en est-il de « flâneuse » ? Dans ce livre jubilatoire, ode piquante à la déambulation au féminin, Lauren Elkin la présente comme une femme « déterminée et pleine de ressources, profondément en phase avec le potentiel créatif de la ville et le pouvoir émancipateur dune bonne balade ». Mais elle nous
Si le mot « flâneur » évoque immédiatement Baudelaire, les grands boulevards et la vie de bohème, qu'en est-il de « flâneuse » ? Dans ce livre jubilatoire, ode piquante à la déambulation au féminin, Lauren Elkin la présente comme une femme « déterminée et pleine de ressources, profondément en phase avec le potentiel créatif de la ville et le pouvoir émancipateur dune bonne balade ». Mais elle nous montre aussi que revendiquer doccuper ainsi lespace urbain reste pour les femmes un acte subversif.De New York à Paris, de Tokyo à Londres et Venise, Lauren Elkin croise en chemin les flâneuses qui y vécurent de la réalisatrice Agnès Varda à la correspondante de guerre Martha Gellhorn, en passant par les romancières George Sand et Virginia Woolf. Lauteure sattache à mettre au jour ce qui se joue chaque fois quune femme au pied léger sort à la rencontre de la ville, comment chacun de ses pas contribuera à transformer son existence.